United Nations Food Summit 2021: Élargir la couverture des systèmes de protection sociale aux plus vulnérables

Dans le cadre du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires 2021, Jessica Fanzo a présenté les projets et les membres de l’équipe de direction de l’ Action Track 1. Les projets discutés étaient:

1) Démocratiser les technologies d’agriculture à précision

2) Promouvoir les entreprises dirigées par des femmes pour qu’elles cultivent et vendent des cultures nutritives mais négligées

3) Établir un fonds pour éradiquer la faim pour toujours

4) Élargir la couverture de systèmes de protection sociale aux plus vulnérables

En tant qu’investisseur, constamment à la recherche d’idées innovantes et nouvelles l’alimentation et l’agriculture, c’était fascinant d’entendre des gens discuter de leurs idées qui changent la donne.

Ugo Gentilini, chef de file mondial de la protection sociale, et Aline Coudoeul ont souligné leurs idées qui changent la donne sur la manière dont ils étendent la couverture des systèmes de protection sociale aux plus vulnérables. Travaillant sur les transferts en espèces, tels que les bons alimentaires et les allocations familiales, ils ont expliqué que cette idée pouvait être considérée comme un changeur de donne en raison de son évolutivité, de sa capacité d’action et de sa durabilité. Tout au long de la pandémie, ce projet s’est avéré être un investissement réalisable, en atteignant un milliard de personnes, montrant qu’il réussit à grande échelle. Pour chaque dollar en espèces injecté en Afrique, 2 dollars ont été générés dans l’économie locale.

Coudouel a ensuite expliqué comment cette idée peut être transférée ailleurs et a une recette simple pour réussir. Les pays concernés doivent continuer à étendre les systèmes de distribution, pour atteindre les centres urbains et les communautés rurales. Il faut une flexibilité au sein des programmes, prêts à s’étendre en prévision des crises. Coudouel a également expliqué que toute intervention, y compris humanitaire, devrait utiliser les mécanismes gouvernementaux, et que les interventions parallèles devraient seulement avoir lieu en cas extrêmes.

Lawrence Haddad, président d’Action Track 1, a expliqué que bien qu’ils n’aient pas d’organisations privées au sein de leurs équipes de direction, ils sont ouverts à la collaboration. Il existe un vaste potentiel d’engagement avec le secteur privé, en particulier dans le domaine de l’alimentation. En tant qu’investisseur, je suis ravie de voir les collaborations qui se concrétisent à la suite de ce forum public pour sensibiliser davantage aux solutions innovantes en cours de développement pour résoudre les problèmes liés à la nutrition.